L’impact de mes choix : est ce que je mesure le coût ?
Je ne suis pas sure que je mesure le coût de mes choix que ce soit en amont, et même en aval. Parfois je suis centré sur les bénéfices, sans mesurer le coût à payer les efforts pour réussir. Parfois, c’est l’inverse je vois le coût pour me former sans mesurer le bénéfice à long terme… Nos choix sont loin d’être rationnels, ils sont souvent emprunts de biais cognitif, d’émotions qui font pencher la balance.
Devenir coach, ce n’est pas juste avoir un métier passionnant ou l’humain est au centre. C’est aussi accepter de changer soi-même. Cela suppose aussi de regarder ses ombres, ses peurs. Par exemple, je ne deviendrai jamais coach de collectif si je suis mal à l’aise dans les groupes. Cela suppose de comprendre ma peur en collectif et de dépasser ce problème dans une formation ou en SuperVision collective. Dans ces espaces de professionnalisation, on travaille réellement sur les dynamiques de groupes et la place que je prends dans un groupe.
Un autre exemple, je ne serai jamais un coach professionnel, si je n’entends pas les feedbacks. Devenir coach suppose d’entendre les retours des formateurs-coachs et superviseurs qui vont challenger ma posture. Certains coachs ne vont pas en supervision, fuyez. En effet, ne pas être superviser, c’est comme considérer que je n’ai pas amener ma voiture au contrôle technique car moi, je ne vois aucun problème, elle roule bien !
Accepter d’explorer ses zones aveugles est ce qui va permettre d’assoir une pratique professionnelle, de respecter la déontologie et éthique du métier de coach professionnel. Et qui va vous permettre de grand#EAR.
Pour en savoir plus sur les Supervisions individuelles et les Supervision collectives c’est ici
EAR Ecole un Autre Regard, école de coaching de Paris
Nous vous proposons des Supervision sur mesure