Le coaching victime de son succès est aujourd’hui très répandu. C’est pourtant un terme générique qui regroupe des pratiques bien différentes (sportif, de rangement, de vie, amoureux…). Le business possible attire des personnes qui se déclarent coach sans formation professionnalisante. Les accompagnements sont donc de qualité très variable…
L’efficacité d’un coaching dépend pleinement de la qualité du coach. Être vigilant sur les dérives de l’utilisation du coaching à toute les sauces semble d’autant plus important que le terme s’est popularisé.
La diversité́ des approches théoriques et des champs de références hétéroclites demande donc à nous les coachs professionnels plus de vigilance et plus de pédagogie : Expliquer clairement quel est notre métier, notre cadre de référence, notre éthique.
A nous de diffuser de promouvoir les certifications professionnelles, de continuer à nous former à nous améliorer, à mieux communiquer, à expliciter ce qu’est le coaching. Mais aussi à travailler sur notre savoir être #coach, par la SuperVision de nos pratiques notamment.
Pour en savoir plus sur nos SuperVision individuelles et collectives c’est ici
Nathalie Lourdel