4 raisons de pleurer en formation de coaching

Et pourquoi c’est une très bonne nouvelle !

Quand on commence une formation pour devenir coach, on s’attend à apprendre une posture, des outils, des techniques…

Mais ce à quoi on ne s’attend pas toujours… c’est à pleurer.

Et pourtant, c’est fréquent.

C’est même parfois essentiel !

4 raisons de pleurer en formation : parce que quelque chose se libère, s’aligne, se transforme :

💧 1. Parce qu’on se reconnecte à soi

Dans un monde qui nous pousse à l’adaptation permanente, on finit parfois par s’oublier. La formation est un espace où l’on prend le temps de se retrouver. Et cette reconnexion peut réveiller beaucoup d’émotions : soulagement, tristesse, gratitude, colère retenue…

Pleurer, c’est dire : “Je suis là. Enfin.”

💧 2. Parce qu’on enlève des couches

Devenir coach, ce n’est pas juste apprendre à poser des questions puissantes, stratégiques.

C’est surtout apprendre à voir au-delà des apparences : chez l’autre, et en soi.

Et pour ça, il faut parfois faire tomber les protections. Les masques.

Les “il faut” et les “je dois”.

Et quand ces couches tombent, les larmes coulent.

💧 3. Parce qu’on se sent accueilli·e comme jamais auparavant

En formation de coaching intégratif, on découvre un espace sécurisant, bienveillant, sans jugement.

Un espace où on peut être sans avoir à faire.

Et dans ces moments là, dans ce silence-là, naît une émotion brute, précieuse. Celle d’être vu entendu accepté  tel qu’on est,

#neuroatypique, #hypersensible, #HPI, #HPE…

 

💧 4.  4 raisons de pleurer : Parce qu’on revisite son histoire

Devenir #coach ne s’apprend pas sans introspection.

Pour accompagner l’autre, il faut avoir visité ses propres zones d’ombre et de lumière.

Alors on revisite des moments clés. Des choix de vie.

Et parfois, les larmes viennent honorer ce chemin parcouru, ou libérer ce qui était resté coincé.

Les larmes ne sont pas que tristesse. Celles qui coulent en formation peuvent être celles de la reconnexion au sens, à la vocation, à ce que l’on pressent comme juste.

Un appel intérieur qui dit :

“ C’est cette personne que j’ai envie d’être.”

Pleurer en formation est un indicateur que le processus fonctionne, que le cœur est impliqué, que la transformation est en route ?

À l’école EAR – Un Autre Regard, nous croyons à un coaching vivant, incarné, qui passe par le corps, le cœur, la conscience… et les larmes aussi, parfois.

Parce qu’elles disent ce que les mots ne savent pas encore formuler.

Et qu’elles préparent souvent un avant/après.