Vous connaissez l’art du Kintsugi ?
C’est l’art japonais de réparation de la céramique brisée. C’est une métaphore de la #résilience. Au lieu de jeter les objets cassés, ou de tenter de cacher les fêlures, Les mettre en lumière avec de la poudre d’or. Apparaissent ainsi des lignes dorées qui soulignent, qui subliment ces cicatrices.
Peut-être qu’il est essentiel de faire de même avec les #psycatrices ? Ces blessures de l’âme qui nous touchent tous quelque part ? Ces fêlures psychologiques, ses accidents de la vie qui m’ont fragilisé, il doit être possible de les accueillir comme dans l’art du #Kintsugi, non ?
En tout cas c’est comme cela que j’aime voir le #coaching intégratif. Un #AutreRegard sur l’accompagnement humain, une approche holistique Corps- cœur-cerveau. Plutôt que cacher mes blessures, en prendre soin. Se servir des failles pour sublimer, transformer les vulnérabilités en forces. C’est à mon avis ce que font tous les professionnels de l’accompagnement. Mettre en positif leurs blessures, les comprendre, les sublimer pour accompagner d’autres à se réparer aussi…
Prendre soin de soi, se réparer soi-même, le chemin de toute une vie. Le chemin pour s’accepter soi-même est long, surprenant, déroutant aussi. Il permet aussi de développer la compassion pour les psycatrices des autres. A mon avis une étape indispensable pour être accompagnant…
Accueillir, célébrer mes imperfections. C’est ce qui fait notre unicité, notre force. Continuer à prendre soin de mes psycatrices, et accompagner sur ce chemin d’autres êtres humains. Voilà pourquoi je suis devenue #Superviseur et #coach intégratif