Ne pas pleurer, surtout ne pas pleurer …
Et si j’arrêtai de suivre les conventions sociales déshumanisantes ? La froideur et l’insensibilité ne sont pas une forme de force. C’est une marque de contrôle, c’est suivre un stéréotypes « boys don’t cry »). D’ailleurs visiblement c’est une injonction qui fonctionne bien. Un homme sur 2 ne pleure jamais.
Les femmes pleurent d’avantage, entre 30 à 64 fois par an (de 6 à 17 fois pour les hommes) ce sont des moyennes discutables. Que tous les #hypersensibles émotionnels qui pleurent plus se rassurent, pleurer est un phénomène qui est naturel et qui amène le plus souvent un soulagement.
Certaine de clientes en #coaching aussi témoignent « je ne veux pas pleurer au travail, ce n’est pas professionnel ». Le problème ? Le sur contrôle temporaire. Je perds de l’énergie à montrer une façade neutre. Et au final la situation se dégrade. Et parfois la coupe est pleine, j’explose sous forme de colère ou de crise de larmes pas contrôlable du tout… L’effet cocotte-minute qui implose ou explose.
L’antidote accepter ses émotions quand elles arrivent. Écouter ce que mes larmes ont à dire.
#EAR et si je m’écoutais vraiment ?
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